CLEMENCE TROSSEVIN s’installe à Paris en 2011 pour y faire ses études en histoire de l’art et archéologie à l’Ecole du Louvre. C’est en suivant la spécialité des ARTS DE L’EXTRÊME-ORIENT arts de l’Extrême-Orient qu’elle développe son goût pour les motifs ornant les céramiques et les soieries chinoises, le travail de la couleur, de la forme, de l’épure ou au contraire de l’accumulation de motifs et de décor l’ont beaucoup marqué.
Clémence peint à la gouache ou sur tablette: un dessin délicat et gracieux, une palette de couleurs savoureuse, et un traitement virtuose des jeux d’ombre et de lumière sont sa signature. Ses influences sont à mi-chemin entre le mouvement artistique japonais Shin-Hanga du début du 20e Siècle, pour l’équilibre parfait entre la ligne et la couleur, la précision du dessin sans surcharge de détails, et la ligne claire d’Hergé au trait simple et aux couleurs en aplats.
Quand Clémence peint, elle puise à la source de ses souvenirs, les odeurs, les sensations, la nature, les scènes narratives comme des instantanés d’instants vécus.  » Je crois que peindre me permet d’invoquer des moments de bonheur. Tout le temps passé à réfléchir à une composition, chercher des couleurs, l’acte même de peindre permet de revivre un peu le moment représenté ».

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